A quelques stations de métro de l'Hôtel de Ville, la place de la Concorde. Et sur cette place, le Musée du Jeu de Paume. Avant d'aller voir l'expo Prévert, j'avais eu la bonne idée de lire le blog de l'ami René, voyageur-photographe... entre autres activités. L'envie m'est donc venue de découvrir les photos de Robert Frank, Un Regard Etranger - Paris/Les Américains
Toutes les photos de la série "Les Américains" et une sélection de la série "Paris" attendent les visiteurs... presque aussi nombreux que pour Prévert. Cette fois, l'attente n'est que de trente minutes ;-)
Certains clichés évoquent immédiatement l'Amérique
Toutes les photos de la série "Les Américains" et une sélection de la série "Paris" attendent les visiteurs... presque aussi nombreux que pour Prévert. Cette fois, l'attente n'est que de trente minutes ;-)
Certains clichés évoquent immédiatement l'Amérique
D'autres pourraient être universels, à tel point que sortis de leur contexte, on ne sait s'il s'agit de Paris ou de l'Amérique...
Emotion de toutes ces photos. Beaucoup sont tristes, oppressantes. Je dois à la vérité de dire que la série "Paris" me parle bien plus...même si les photos ne sont pas plus légères.
Avec un coup de coeur particulier pour cette photo
On peut découvrir (ou retrouver) cet univers jusqu'au 22 mars au Jeu de Paume. Un lien pour en savoir plus
La p'tite phrase du jour : "Je ne savais pas qu'on pouvait saisir avec des photos des choses que les mots sont incapables d'exprimer" Jack Kerouac, dans la préface du livre "Les Américains".
La p'tite phrase du jour : "Je ne savais pas qu'on pouvait saisir avec des photos des choses que les mots sont incapables d'exprimer" Jack Kerouac, dans la préface du livre "Les Américains".
Je suis tombée toute petite dans la boite des vieilles photos. Quel bonheur de les voir maintenant traitées lors de ces expos à leur juste hauteur ! Et quel plaisir de pouvoir partager à distance ! ça a du être une bien bonne journée Odile !
RépondreSupprimerOui Lulu c'était enthousiasmant ! Même si le temps d'attente me paraissait long (et que j'ai attrapé un bon rhume...) j'ai oublié cette attente dès que je suis entrée dans chacun de ces lieux. Pour Prévert, malgré la foule à l'extérieur, les salons sont tellement vastes (et j'ai pris le temps aussi de profiter de l'architecture et des splendides plafonds) qu'on ne se rend pas compte du succès de l'expo. Pour Robert Frank en revanche, il faut ruser pour accéder aux photos, et en particulier ne pas suivre le même chemin que tout le monde (ce que je sais très bien faire :-))).
RépondreSupprimerJe préfère ces photos qui ne sont pas que plates.... Merci aussi pour ces bonnes idées Odile.
RépondreSupprimerHola Odile,
RépondreSupprimerC'est gentil de nous faire une expo de ce que tu as vu.J'avoue que j'irais bien si je me trouvais dans la capitale...
J'aime beaucoup cette expression de l'art. Je suis allée voir dernièrement une expo su Cartier-Bresson et j'ai adoré.
J'apprécie,comme toi, le dernier cliché que tu nous présentes.
Mille mercis et toute mon amitié.
Merci à tous. C'est vrai que c'est un plaisir de partager ses trouvailles et c'est un plaisir de savoir qu'on est lue ;-))
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