vendredi 13 mars 2009

Vendredi 13




Bon c'est quand même le deuxième vendredi 13 de l'année, il va falloir se documenter :-)... puisqu'il y en aura encore un troisième, en novembre !


Etes-vous paraskevidékatriaphobe ? Avec un nom pareil, et quand vous avez réussi à le lire et à le prononcer, vous avez déjà fait le plus difficile. Si vous l'êtes, restez couché aujourd'hui, avec un bon livre, un dvd, un grog.


Si ce n'est pas le cas, c'est le moment de s'offrir des fleurs, un bon film ou un bon livre... Et de jouer à tous les jeux qu'on veut. Voire de faire un tour dans Paris avec son appareil photo, pour saisir sur le vif tous ceux à qui le vendredi 13 va porter la poisse ;-)



Une pensée particulière pour tous les chats noirs qui ont eu à subir les superstitions au fil du temps.

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La p'tite phrase du jour : "Pour moi, il n'y a que d'heureux présages ; car, quoi qu'il arrive, il dépend de moi d'en tirer du bien." Epictète

9 commentaires:

  1. Suis pas supersticieuse pour un sous ,ni même pour deux !!!
    Brigitte

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  2. Moi non plus... ça porte malheur :-))) !

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  3. Je suis née un vendredi 13 ... hé hé !!!
    (il y a quelques années déjà) ah ah .......

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  4. je suis ...........

    Annick !!!

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  5. C'est pas sorcier, je ne suis absolument pas superstitieuse, j'ai pas les moyens...
    Mais j'aime bien les p'tites histoires rigolottes des croyances, celles des chats qu'on pensait responsables de la peste, et qu'on a brulés en nombre avec les sorcières, celle du pain du bourreau que le boulanger rangeait à l'envers...
    Bon journiversaire Annick !!!

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  6. Merci Lulu ...
    Mon père faisait le signe de la croix sur le pain avant de le trancher et nous n'avions pas le droit de le mettre à l'envers !!!
    ben du coup, j'ai gardé le réflexe, je le fais aussi !!!
    Par contre je ne me souviens plus exactement pourquoi? ça avait un rapport avec "notre pain quotidien"... c'était religieux, je pense.
    Annick

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  7. Nous on ne faisait pas de signe de croix, mais fallait jamais mettre le pain à l'envers. ça m'est resté, je remets systématiquement à l'endroit et les enfants aussi ;-)Voilà ce que j'ai trouvé concernant le pain du bourreau : "Jusqu'au milieu du XVII° siècle, les bourreaux avaient obligation de résider hors les murs de la cité, n'avaient pas le droit de fréquenter les cabarets et les spectacles, ni d'inviter à leurs réjouissances (fiançailles, mariages, etc) ceux qui n'appartenaient pas à leur parentèle. Leurs enfants n'étaient pas admis dans les écoles, obligeant les parents à engager, dépense considérable, des précepteurs privés. Sur les marchés, les provisions qui leur étaient destinées étaient placées à l'écart et nul, même tenaillé par la faim, n'aurait songé à acheter le pain du bourreau, symboliquement disposé à l'envers sur l'étal. Cet ostracisme était cependant adouci par quelques privilèges attachés à leur fonction, notamment le droit de havage qui permettait aux bourreaux et à leurs aides de prélever, dans des conditions variant selon les époques et les villes, oeufs, fruits, poissons, légumes, bois, charbon et autres marchandises soigneusement énumérées dans leurs "lettres de commission". Ils arrondissaient leurs maigres gages en vendant les habits du supplicié à l'encan ou en tiraient différents baumes et médecines réputés faciliter la guérison des malades"

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  8. Chez nous aussi, c'était mon père qui remettait le pain systématiquement à l'endroit ! Et je crois bien l'avoir vu aussi faire une croix... plus comme un rituel que comme un symbole religieux, il me semble.
    Merci Lulu pour ces explications.

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  9. Merci Lulu pour les explications du "pain du bourreau".
    Je te rejoins Odile pour le rituel concernant le pain ; de plus, c'était mon père qui le tranchait, lui seul avait le droit de nous donner la "tartine de pain" pour "pousser" les aliments dans l'assiette... Nous étions quatre enfants et avons du passer notre temps à le déranger pendant le repas. Maintenant, chacun se sert.

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