A l'intérieur du parc, se trouve le Théatre Silvia Monfort que l'actrice avait créé en 1972, sous le nom de Carré Thorigny
Des abattoirs, on n' a pas seulement gardé les impressionnants taureaux qui gardent l'entrée principale, mais aussi les halles aux chevaux qui abritent désormais les bouquinistes. Ca nous rajeunit pas, mais j'ai vu les chevaux, moi, sous ces halles...
Partant à la recherche des trésors littéraires de mon enfance (Le club des cinq, Nade...), j'ai rencontré sous la halle un autre cheval : Crin-Blanc, livre que j'ai lu étant enfant, et dont mes nombreux déménagements m'avaient privée. Il a peuplé de rêveries mes jeudis mélancoliques. D'abord la version moderne du livre. Ensuite, l'édition d'origine, que j'ai possédée à l'époque, et que j'ai retrouvée au parc Georges Brassens.
Partant à la recherche des trésors littéraires de mon enfance (Le club des cinq, Nade...), j'ai rencontré sous la halle un autre cheval : Crin-Blanc, livre que j'ai lu étant enfant, et dont mes nombreux déménagements m'avaient privée. Il a peuplé de rêveries mes jeudis mélancoliques. D'abord la version moderne du livre. Ensuite, l'édition d'origine, que j'ai possédée à l'époque, et que j'ai retrouvée au parc Georges Brassens.
Le livre reprend les scènes principales du film Crin Blanc, tourné en 1953. Pour celui-ci ou pour "Le Ballon Rouge", Albert Lamorisse avait obtenu de nombreux prix, dont le prix Jean Vigo, le prix du court métrage, à Cannes.
J'ai mis longtemps à "vouloir" entendre la fin de l'histoire et à comprendre ce qu'elle signifiait vraiment. On paie parfois un prix très élevé pour être libre.
La p'tite phrase du jour : Si l'homme échoue à concilier la justice et la liberté, alors il échoue à tout. Albert Camus
Bonjour Odile,
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup Paris, j'ai vécu et travaillé dans sa banlieue il y a ...quelques années. Je n'ai cessé d'y revenir régulièrement car c'est une ville qui envoute et enchante.
J'imagine ce que ce doit être quand on y est né et que l'on en connait les moindres détails, un vrai régal!
Bon dimanche, merci du petit mot sur mon blog, je t'y ai répondu,
Avec toute mon amitié,
Henriette
Je dois dire que je l'apprécie davantage depuis que je n'y habite plus :-) J'y vais maintenant en touriste et c'est comme ça que j'ai découvert la ville. Quand on y habite, qu'on y fait ses études, ou qu'on y travaille, on n'apprécie pas de la même manière (enfin tout dépend sans doute des conditions de vie de chacun). Il y a toujours à découvrir.
RépondreSupprimerOdile je suis très impressionnée par ton blog et les richesses qu'il contient. Crin-Blanc est un livre magnifique que j'ai lu bien souvent et que ma soeur doit détenir encore. Le nôtre était également en noir et blanc et je pleurais beaucoup à la fin de l'histoire !! Le square G. Brassens a agréablement remplacé les abattoirs, Maman adorait s'y reposer et se promener au milieu de la roseraie... je l'ai assez peu parcouru car j'avais quitté Paris lorsqu'il a été créé. En revanche, du temps des abattoirs, j'habitai dans l'immeuble juste en face, et de la salle à manger nous voyions les chevaux descendus des wagons, hennissant d'anxiété à l'approche du mauvais sort qu'ils allaient subir. J'en garde un très mauvais souvenir.
RépondreSupprimerBienvenue à toi, Dominique, ma voisine du 15e arrondissement... dans les années 60 ;-). C'est sûr que moi aussi je préfère les halles telles qu'elles sont aujourd'hui ! Je présenterai peu à peu d'autres sites du 15e et d'ailleurs. A bientôt.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup flaner dans ce parc et sniffer les vieux bouquins, le calme de l'endroit, merci Odile d'en avoir raconté l'histoire.
RépondreSupprimerJ'ai adoré vivre à Paris, et j'adore y revenir...