Chats de voyage

Au fil de mes voyages, je cherche des chats. Parfois sans succès (à Londres par exemple, pas un seul matou en vue, même à travers une vitre :-(( ). Mais parfois, le hasard fait des miracles.

Voici un chat qui profite à sa manière de l'or des palais de Bangkok.

Je l'ai cherché longtemps, et c'est le seul félin que j'ai trouvé, profitant de la chaleur dans une maison huppée du quartier chic de Montréal, Mont-Royal.

A Ottawa, capitale du Canada, des dizaines de chats vivent parait-il sur la Colline du Parlement. En cette fin d'un hiver 2008 particulièrement froid, j'ai vu deux matous et quelques écureuils noirs, contemplant la rivière des Outaouais.

Plus près de nous, Saint-Malo. Je l'ai découverte avec émerveillement cette année, à l'occasion du Festival des Etonnants Voyageurs. Etre éveillée tôt permet quelques surprises. Un vieil homme, sorti du fond de la ville "intra-muros", m'a fait penser au "joueur de flûte de Hamelin". A mesure qu'il avançait, les chats sortaient des ruelles, et le suivaient jusqu'à la plage. Le temps de chercher et déclencher l'appareil-photo, il n'en restait plus que deux, surpris depuis ma chambre d'hôtel, parfaitement située au pied des remparts.

J'ai compté une dizaine de chats au moins, tous uniformément blancs, qui semblent dans un bien mauvais état. Veiller tard permet d'autres surprises ;-) , j'ai rencontré un chat-garou !

La p'tite phrase du jour : "Il résultait de ses observations que l'Allemagne est faite pour y voyager, l'Italie pour y séjourner, l'Angleterre pour y penser, et la France pour y vivre". D'alembert à propos de Montesquieu