(site de cartes postales Delcampe)
Indenté, c'est ainsi qu'on appelle un arbre généalogique présenté sous la forme ci-dessous, forme qui peut paraître étrange aux novices en généalogie. J'ai choisi cette présentation pour une seule raison : je voulais montrer comment j'ai compris, avant d'avoir pu relier Augustine (voir abécédaire lettre A) à cette branche qu'il s'agissait bien d'une seule et même famille.
Dans cet arbre, je vous ai déjà parlé de plusieurs personnes, que je souligne en bleu : thérèse Duperrier, à la lettre F, ainsi que son mari Jean, qui devenu mendiant, mourra dans une grange, Augustine à la lettre A, Gaston bien sûr à la lettre H ainsi que sa femme Marcelle. Et Hyacinthe viendra plus tard dans l'alphabet !
Je m'aperçois avant de publier que les lignes verticales qui permettent, dans l'arbre indenté, de suivre les différentes générations, ont disparu... ce qui ne facilite pas la lecture ! Repérez juste les lignes jaunes ;-)
VILTET Nicolas - Vigneron (7 mai 1768 / 1 septembre 1849)
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(30 janvier 1798) PICARD
Marie - (16 juin 1778 / 11 août 1854)
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+ VILTET Nicolas - Tisserand (16 janvier 1799
/ 30 janvier 1880)
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VILTET Marguerite - (28 juin 1800 / 5 juin 1803)
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VILTET Didier - (28 août 1801 / 18 septembre 1801)
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VILTET Louis - (22 août 1802 / 29 décembre 1807)
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VILTET Jean - Domestique (27 novembre 1803 /
26 mai 1871)
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(1
février 1836) DUPERRIER Thérèse - Journalière (1808 / 2 septembre 1854)
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VILLETET-DUPERRIER Jean Nicolas - (15 novembre 1833 / 10 février 1855)
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VILTET Marguerite - Journalière (22 octobre
1836 / après 1866)
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(x) Pas
de conjoint
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VILLETET Louise Euphrasie - Journalière (13
mars 1857 / après 1883)
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(25
août 1858) COLAS Pierre - Vigneron (2 juillet 1832 / après 1883)
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COLAS Marie Aurélie - (20 juillet 1859 / )
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COLAS Adèle Victoria - (3 juin 1861 / )
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COLAS Nicolas Théophile - (6 décembre 1862 / )
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COLAS Victor Jean Baptiste - (13 mars 1865 / 9 décembre 1865)
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COLAS Martine Anna - (10 novembre 1866 / )
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VILTET Louise Euphrasie - Journalière (21
mars 1838 / après 1872)
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(x) Pas
de conjoint
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VILLETET Hortense Odile - (30 août 1859 / 25 juin 1868)
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VILLETET Nicolas Maximin - Manouvrier (16
avril 1861 / après 1919)
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+ (30
juin 1883) JAEGLÉ Marie - (9 novembre
1866 / après 1919)
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VILLETET Marie Désirée - (6 juin 1865 / 30 août 1865)
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(27
décembre 1866) MAYER Gaspard - berger (27 février 1812 / 17 février 1867)
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(29
décembre 1869) COLAS Pierre - Vigneron (23 mars 1830 / après 1872)
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COLAS Eugénie Odile - (15 mars 1871 / )
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COLAS Charles - (6 mai 1872 / )
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VILTET Louis Auguste - Scieur de long (29
novembre 1839 / 20 novembre 1900)
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(25
janvier 1872) ROLLÉE Adélaïde Françoise -
(29 décembre 1836 / 20 juin 1912)
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VILTET Lucie Césarine - (7 juin 1872 / )
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+ (19
novembre 1892) SUBILLOTTE Adrien - vannier (7 juin 1870 / après 1906)
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VILTET Albert Appolinaire - (4 juin 1877 / 10 décembre 1908)
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VILTET Abel Victor - (28 août 1878 / 2 juillet 1960)
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VILTET Marie Albertine Delphine - (6 janvier 1880 / 8 novembre 1954)
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VILTET Pierre Césaire - Domestique (27 avril
1842 / 2 juillet 1883)
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BERNARD Emélie - (1850 / après 1883)
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VILTET Charles - scieur de long, charpentier
(13 octobre 1844 / après 1906)
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(16
mars 1874) CHEMIN "Marie" Augustine - (3 septembre 1856 / après 1906)
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VILTET Jules Théophile - Scieur de Long (16
février 1875 / après 1924)
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(24 mai
1902) ROBERT Eugénie - (10 juillet
1880 / après 1903)
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VILTET Charlotte Augustine - (11 juillet 1903 / )
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VILTET Marie Julie - (27 avril 1877 / après 1901)
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(16
novembre 1901) ROBERT Claude - Jardinier (9 mars 1874 / après 1901)
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VILTET Auguste Hyacinthe - Scieur (24
novembre 1878 / 21 août 1949)
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(24
juin 1905) COLIN Eugénie - Couturière (6 juillet 1887 / après 1906)
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VILTET Paul Louis - (15 avril 1906 / 26 septembre 1949)
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(14
septembre 1929) RICHARD Maria Henriette -
( / après 1936)
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(16
septembre 1922) HUBERT Marie Louise -
( / après 1922)
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VILTET Marie "Augustine" -
manouvrière (22 juin 1881 / 14 avril 1952)
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()
INCONNU Inconnu - ( / )
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VILLETET Gaston Georges - Cheminot (17
septembre 1901 / 8 août 1985)
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(14
juin 1924) VOINCHET Marcelle Marie -
(18 janvier 1904 / 1 mai 1935)
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VILLETET Laurent - Employé de chemin de fer
(29 août 1846 / après 1894)
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+ (16
juillet 1872) LEGERET Marie Alphonsine -
(11 avril 1854 / après 1894)
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VILLETET Marie Anastasie - (6 juillet 1848 / après 1878)
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(x) Pas
de conjoint
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VILLETET Victor Maximin - (2 février 1875 / 24 février 1875)
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VILLETET Paul Auguste - (3 juillet 1876 / 3 août 1955)
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VILLETET Marie Justine - (28 octobre 1878 / )
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VILLETET Théophile - (3 octobre 1850 / 1 septembre 1854)
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VILTET Richard - (22 octobre 1805 / 13 octobre 1814)
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VILTET Anne - (22 octobre 1807 / 29 septembre 1809)
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VILTET Anne - Manouvrière (1808 / après
1844)
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(31
janvier 1844) PERNOT Jean Baptiste - Manouvrier (1818 / après 1844)
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PERNOT VILLETET Jean Baptiste - (12 mars 1838 / )
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VILTET Geneviève - (16 septembre 1809 / )
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VILLETET Anne Marguerite - manouvrière (14
novembre 1810 / après 1847)
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(x) Pas
de conjoint
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VILTET Marguerite - (16 février 1834 / 17 février 1834)
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VILTET Anne - (1 novembre 1835 / 10 septembre 1836)
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(9
novembre 1839) GEARD Anselme - Meunier (19 septembre 1804 / après 1847)
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GEARD Marie Anne - (16 décembre 1839 / après 1859)
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(23
février 1859) LAMARQUE Nicolas - Vigneron (17 mai 1833 / )
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GEARD Louise - (18 mai 1842 / 13 mars 1844)
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GEARD Claude Nicolas - (3 janvier 1847 / 7 janvier 1847)
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VILTET Catherine - (20 novembre 1813 / )
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VILTET Pierre - (26 novembre 1815 / )
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VILTET Jeanne - (25 mars 1820 / 15 octobre 1822)
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VILTET Claude - Vigneron (26 avril 1822 / 22
août 1854)
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(13
janvier 1851) COLAS Claire - (28 avril
1828 / )
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Une grande lignée ,je commence à me rendre compte du temps passé à faire ces recherches ...
RépondreSupprimerBises
Oui une grande lignée, mais j'ai commencé il y a 12 ans maintenant... Et le "travail" (je mets des guillemets parce que pour moi ça reste un plaisir, un loisir, je ne suis pas maso ;-)) est grandement facilité depuis que la plupart des départements ont mis leurs archives en ligne. Les premières années, j'avançais très lentement parce que je ne pouvais consulter les registres qu'aux vacances, dans les départements concernés, ou en faisant venir les microfilms aux archives de Bobigny. Toute une épopée !! Bises Brigitte.
SupprimerC'est très intéressant de remonter aussi loin. D'avoir les prénoms, les métiers.... Bravo.
RépondreSupprimerVoilà, c'est ça qui est intéressant, construire une vie autour des dates, parce qu'il nous faut imaginer la vie de ces ancêtres, et les seules dates de naissance et de décès... ça ne fait pas une vie ! Connaitre leur métier c'est déjà mieux, connaitre l'histoire du village, c'est un pas de plus. Et voilà comment on leur invente une histoire ! A bientôt.
SupprimerC'est impressionnant et intéressant. Bravo pour ce travail de longue haleine.
RépondreSupprimerBises
Ce qui est bien dans un travail de longue haleine, c'est qu'on peut le laisser reposer quelques semaines (ou mois ou années pour certains) et le reprendre ensuite, on a toujours des tas de choses à compléter. mais c'est aussi que chaque découverte est une petite (parfois une grande)victoire ! Bises.
SupprimerLe constat est en effet sidérant. As-tu des indices qui pourraient aboutir à des hypothèses qui permettent de comprendre ces abandons ?
RépondreSupprimerY-a-t-il une unité de lieu ?
Dans l'analyse de mes archives insolites, mes p'tits crimes et parmi les ouvrages historiques qui traitent du sujet, l'abandon est une vraie calamité. Il faut le voir comme une "solution" acceptée. Exposer son enfant ça ne choque personne dans un dossier criminel. Ce qui choque c'est que l'enfant ait été mis en danger lors de l'abandon, et encore... Au début du 19ème on abandonne un petit à la porte d'une nourrice, au tour, sans aucune conséquence... Et on vient le rechercher aussi facilement !! Il suffit d'avoir laissé une trace identifiante. les registres d'abandon sont hallucinants ! Il y a ainsi des enfants abandonnés qui s'ignorent dans les arbres généalogiques ! Un p'tit en haillons qui passe un ou deux mois à l'hospice avant de rentrer à la maison !
Finalement tu vois, ces articles, me font penser à ça, relire les registres d'abandon, avec un oeil sur ceux qui n'ont fait qu'y passer... et dont les descendants idéalisent peut-être un peu trop l'histoire familiale.
Ce qu'on apprend dans ce travail d'histoire c'est la violence de cette vie d'avant. Elle est souvent ignorée, dans cette volonté d'identification affective, qui imbibe la généalogie. On regarde à la loupe, mais avec un verre déformant.
C'est la sociologie de l'histoire familiale qui est passionnante, et elle n'est possible que si l'on prend un peu de distance. Ne pas trop pleurer au delà des grand-parents, sinon on finit dans la secte psychogénéalogie... Hein et tu sais ce que j'en pense !
Bises !
Oui Gloria, j'ai des indices mais que je ne peux évoquer ici. Il y a une unité de lieu...chaque fois que la famille déménage ;-) C'est la famille V au sens large, y compris plusieurs oncles, neveux etc. On a d'abord Arbigny sous Varennes, puis Dammartin sur Meuse, puis Langres. Et il y a semble-t-il surtout une forte unité "sociologique" qui m'a été confirmée par l'institutrice que j'avais rencontrée à Chaumont.
RépondreSupprimerJe suis tout à fait d'accord avec toi sur cette histoire familiale souvent idéalisée, voire fantasmée. Moi j'ai l'impression d'avoir fait le chemin inverse (en commençant pas la psychogénéalogie, tu sais bien ;-)) à savoir que tout était négatif ou peu s'en faut, dans ce que je connaissais, y compris mon propre patronyme. Ce que j'ai découvert à travers toutes ces recherches m'a permis de construire l'arbre et surtout de me rendre compte de sa solidité, même si elle ne saute pas aux yeux quand on ne voit que la cruauté de la vie et la faiblesse humaine. Cette mise en mots, même si elle semble difficile à lire pour certains lecteurs, est un vrai bonheur pour moi. J'ai vraiment l'impression de LES faire revivre, de leur redonner une place... pour passer à autre chose une fois que j'ai retrouvé ma p'tite place à moi sur ma branche :-)
Je t'embrasse Gloria, merci pour tes commentaires toujours très constructifs.
Ce que tu as fait est formidable... j'ai toujours pensé que la généalogie ne pouvait être qu'approximative de par les abandons, les enfants "naturels"... ce qui compte c'est la généalogie de coeur pour tous les enfants "trouvés".
RépondreSupprimerC'est bon de sentir ses racines à la fois simples et solides pour construire son histoire.
Je te souhaite une bonne soirée Odile, contente de te lire à nouveau.
Ah Josette ! Ton commentaire attendait depuis le début de l'année que j'ouvre la page du blog ! merci de ta patience et de ton passage ;-)
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