Au fil de la promenade, surgissent au détour des allées les vestiges de ce qui fut "La Poudrerie Nationale" à Sevran-Livry. Certains des bâtiments ont été réhabilités et servent de salles d'exposition ou de rencontres. L'été, le Parc, comme tous ceux de Seine-Saint-Denis, est le théatre de nombreuses animations.
Au détour des allées, aussi, tout le petit peuple des forêts, écureuils, rouge-gorge se cachent moins que tous les autres oiseaux, qu'on entend sans les voir. Et près des plans d'eaux, nombre de canards, poules d'eau, héron, grèbe... Pas de foulques ni de mandarins cette fois. Un salut aux trois séquoïas géants, aux saules pleureurs immenses et à nouveau les petits lupins au panache roux entrent dans la danse... Leur vivacité est telle qu'il ne reste parfois que ce panache sur la photo, mais quel panache !
Un spectacle dont je ressors toujours émerveillée !
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